26/04/2007
Continuité dialoguée : Franck Bitoun
Voici le scénario de Franck Bitoun : Le code parental
Téléchargez en pdf ICI.
Essayez de le lire d'ici notre prochaine séance. Vous pouvez lui faire part de vos remarques en commentaire. Les documents publiés appartiennent à leurs auteurs.
16:50 Publié dans Atelier | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : scénario, exercice | | del.icio.us | Facebook
Commentaires
Alors pour commencer, j'ai adoré ! Le talent de Franck pour nous faire rire avec des histoires pleines de rebondissements comiques se confirme.
Je trouve qu'il y a un rythme régulier dans le déroulement général du scénario, et beaucoup de finesse dans le traitement des effets comiques.
J'aime beaucoup également la façon dont sont traitées les relations entre les membres de la famille : le rapport parent-adolescent, mais aussi celui de ce vieux couple qui se laisse tenter par l'idée de casser des habitudes (ou plutôt que les habitudes solitaires de l'un soient partagées avec l'autre), de retrouver la complicité de leurs débuts. J'aime moins le départ de Muriel, quoique l'image d'Arthur en chaussettes qui lui court après soit assez cocasse. Bref, à la lecture j'ai déjà eu tout le film en images, je le trouve vraiment abouti comme ça.
Écrit par : Claire | 30/04/2007
Merci à Claire pour sa participation. Sur le fond, je suis assez d'accord avec elle : il y a un bon enchainement des péripéties, les personnages sont bien campés, le rytme est vif, les dialogues s'enchainent bien. Il y en a peut être un peu trop, il faut voir quelle durée Franck veut pour le film.
Sur la forme, il y a plus à dire : le scénario manque de descriptions, d'ambiances, d'indications de son et de lumière. Le découpage en scènes manque de rigueur : quand la voiture arrive dans le parking, par exemple, c'est une autre scène telle qu'elle est écrite. il n'y a pas de différence de présentation entre les dialogues et le corps des descriptions. Enfin, il faut bien séparer ce qui tient des didascalies de ce qui tient des descriptions. Nous en reparlerons jeudi.
Écrit par : Vincent | 01/05/2007
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